Heymathieu

Album de la semaine : Emily Jane White – Dark Undercoat

J’inaugure aujourd’hui une sorte de nouvelle section, qui bien qu’elle n’apporte rien en soit, servira surtout à me pousser à écrire au moins une critique d’album par semaine. ces critiques ne seront pas très poussées mais assez pour vous donnez un aperçu et mon avis.

Playlist :
1. Bessie Smith
2. Hole in the Middle
3. Dark Undercoat
4. Dagger
5. Time on Your Side
6. Demon
7. Sleeping Dead
8. Blue
9. Wild Tigers I Have Known
10. Two Shots to the Head

Je commence avec une artiste injustement méconnue, Emily Jame White. Cette jeune américaine d’une vingtaine d’années née à San Francisco nous livre un premier album qui ne semble pas en être un tant il est maîtrisé et mature. Bien que je n’ai jamais écouté pas ces artistes, on la compare souvent à Cat Power, Hope Sandoval ou même Billie Holiday, une grande diva du jazz des années 50, sûrement pour le côté mélancolique.

Munie d’une guitare, d’un piano et d’un alto (violon), Emily Jane White distille une folk simple, mélancolique et envoûtante. Dès les premières notes, on est emporté par la mélodie dans des contrées lointaines puis vient se poser la voix magnifique de la chanteuse, qui anime alors ce paysage et nous hypnotise jusqu’à la fin de la chanson.
Voila une session acoustique de Bessie Smith dans les studios de Libération :

La Session Emily Jane White
envoyé par liberation